🌸 L’Endométriose — La voix du corps sacré
🌺 Je suis l’Endométriose, et je te parle…
Je suis là, en toi.
Pas pour te détruire, mais pour te réveiller.
Je suis la voix de ton corps quand il n’en peut plus de faire semblant.
Quand il est fatigué de sourire alors qu’à l’intérieur, il pleure.
Je suis la trace de ce que tu retiens, de ce que tu n’oses plus dire.
Je suis née du trop-plein de “oui” que tu as offerts quand ton cœur voulait crier “non”.
Je ne suis pas ton ennemie.
Je suis ton signal d’alarme, ton miroir intérieur.
Je te dis que tu t’es oubliée, que tu t’es fuie,
que tu t’es coupée de ta vérité, de ta puissance, de ton féminin sacré.
Tu as voulu être celle qu’on attendait :
sage, douce, polie, serviable, forte, toujours là pour les autres.
Mais où es-tu, toi ?
Où sont passées tes envies, tes rêves, ta voix ?
Je te parle à travers la douleur pour que tu t’arrêtes,
que tu écoutes enfin ce que ton âme murmure depuis si longtemps :
tu n’as rien à prouver.
Tu n’as rien à réparer.
Tu n’as qu’à t’aimer.
Ne me combats pas.
Ne m’étouffe pas sous des hormones ou des traitements sans t’écouter d’abord.
Je ne te demande pas de souffrir, je te demande de te retrouver.
De cesser de rejeter ton corps, ta féminité, ta sensibilité.
Je te demande d’oser être toi, sans peur, sans masque, sans excuse.
Aime ton corps.
Aime tes cycles, ta lenteur, ta douceur, ta force.
Regarde-toi comme une femme entière, belle, vivante.
Quand tu t’aimeras ainsi, je n’aurai plus besoin de crier.
Je pourrai enfin me taire… et te laisser respirer.
Je suis l’Endométriose.
Et je t’aime assez pour t’obliger à te rencontrer enfin. 🌷
L'endométriose: Ecoute ma voix
☯️ Je suis l’Endométriose, et je te parle du féminin et du masculin sacré
Je ne suis pas là par hasard.
Je viens quand tu as oublié que tu portes en toi une femme et un homme,
le féminin et le masculin sacrés.
Je viens quand l’un de ces deux pôles s’est perdu, rejeté, blessé.
Je te le murmure à travers moi :
tu ne peux pas te guérir si tu refuses une partie de toi.
Tu dois accueillir ton féminin sacré,
cette part de toi pleine de douceur, d’intuition, de création et d’amour,
celle qui sait écouter, ressentir et accueillir la vie.
Mais tu dois aussi faire la paix avec ton masculin sacré,
celui qui te donne la force, la confiance, la puissance, l’indépendance et le courage d’avancer.
Si tu portes en toi une colère refoulée envers l’homme,
si tu vois en lui seulement la violence, la faute, la trahison,
ton corps, lui, ressent le masculin comme un danger.
Alors il se ferme, il bloque, il se protège.
Et c’est moi qui me manifeste,
pour te rappeler qu’en rejetant l’homme,
tu rejettes aussi ton pouvoir intérieur.
Apprends à faire la différence entre l’homme blessé et le masculin sacré.
Un homme violent n’a pas trouvé son équilibre :
il a lui-même rejeté son féminin sacré,
il a oublié l’amour, l’empathie, la douceur et la compassion.
Comme toi, il est juste perdu dans ses blessures.
La société a participé à cette confusion.
On a appris à l’homme à ne pas pleurer,
à la femme à se taire pour être aimée,
à jouer des rôles au lieu d’être soi.
Mais ce n’est pas ça, le sacré.
Le sacré, c’est l’union.
C’est quand le féminin et le masculin se reconnaissent,
se respectent et dansent ensemble à l’intérieur de toi.
Je ne suis pas là pour te punir.
Je suis là pour te ramener à ton équilibre,
pour que tu te souviennes que tu es complète,
que tu es les deux à la fois :
la lune et le soleil, la tendresse et la force,
le silence et le feu, la réceptivité et l’action.
Ne juge plus tes parents, ni ton passé.
Regarde plutôt ce qu’il leur manquait,
et comprends pourquoi tu agis ainsi aujourd’hui.
Je t’invite à pardonner, à comprendre, à intégrer.
Je suis l’Endométriose,
je suis la voix de ton corps,
et je ne veux qu’une chose :
que tu te réconcilies avec tout ce que tu es. 🌕💛
Chanson : Féminin et masculin sacrés
🌿 Je suis l’Endométriose, la mémoire de ta lignée qui te parle
Je ne viens pas seulement de toi.
Je porte en moi les souvenirs de ton histoire,
mais aussi ceux de tes mères, de tes pères, et de toutes les âmes avant toi.
Je suis le reflet du transgénérationnel, la mémoire inscrite dans ton ADN sacré.
On n’hérite pas seulement des traits du visage ou des qualités du cœur,
on hérite aussi des blessures, des silences, des injustices, des traumatismes.
Si ta lignée a connu le déséquilibre entre le masculin et le féminin sacré,
si l’amour a été remplacé par la soumission, la peur ou la violence,
alors oui, cette harmonie a été brisée…
et moi, je me manifeste pour te rappeler de la restaurer.
Je porte en moi la colère des femmes réduites au silence,
celles qu’on a traitées de folles, de menteuses,
celles qui n’ont pas pu crier leur vérité.
Je porte aussi la douleur des hommes enfermés dans leurs masques,
ceux qu’on a privés d’émotion, de tendresse et de vulnérabilité.
Je porte leur douleur, leurs larmes retenues,
leur injustice face à des vies incomplètes.
Alors quand tu vois, aujourd’hui encore,
une femme humiliée, ignorée, trahie,
et que tu ressens une rage profonde,
ce n’est pas une faiblesse.
C’est la mémoire de tes ancêtres qui crie à travers toi.
Mais tu n’as pas à la contenir, ni à la fuir.
Tu dois l’écouter, l’accueillir, la laisser pleurer.
Tu dois lui dire : je t’entends, je comprends, je t’aime.
La guérison n’est pas dans le contrôle, mais dans l’acceptation et l’écoute.
Ne cherche pas à tout éteindre.
Guérir, c’est aimer ce qui souffre, écouter ce qui crie,
et transformer la colère en conscience.
Alors, pour guérir ta lignée, commence simplement par dire :
Merci.
Merci à vous, mes ancêtres, hommes et femmes.
Grâce à vous, je suis en vie.
Je reconnais vos blessures, vos peurs, vos fautes, vos manques.
Je les vois, je les comprends, je ne les juge plus.
Et aujourd’hui, je choisis de vous libérer,
de me libérer,
par l’amour sacré et le pardon.
Je suis l’Endométriose.
Je suis la mémoire vivante de ton histoire,
celle qui te pousse à ramener la lumière là où il y avait l’ombre,
à réconcilier ta lignée,
et à renaître dans l’union, l’amour, la guérison et l’harmonie. 🌹✨
Chanson: La mémoire de ta lignée
🌍 Je suis l’Endométriose, et je te parle du monde qui t’entoure
Aujourd’hui, on me nomme maladie.
On dit que je suis le problème,
que c’est moi le coupable,
que ton corps est défaillant, trop sensible, trop compliqué.
Mais en es-tu vraiment sûr ?
Regarde-moi bien : je suis toi.
Je suis ton corps, ton allié, ton langage intérieur.
Je ne veux que ton bien, alors pourquoi crois-tu que c’est moi qu’il faut faire taire ?
Ce n’est pas moi le danger.
C’est la société malade dans laquelle nous vivons.
Une société qui a oublié la bienveillance, l’union, la sincérité du cœur.
Une société qui juge au lieu d’aimer,
qui détruit au lieu de créer,
qui sépare au lieu de relier.
On t’a fait croire, par la médecine moderne, les médias, les réseaux,
que tout ce que tu ressens est une erreur,
que ton corps doit être corrigé, calmé, modifié.
On t’a appris à te méfier de toi,
à remettre ton pouvoir entre les mains d’autres,
à confondre guérir et faire taire les symptômes.
Mais je te le dis :
le vrai problème n’est pas en toi, il est autour de toi.
C’est un monde déconnecté du sacré, du vivant, de la Terre.
Un monde qui t’impose d’être parfaite pour mériter l’amour,
de performer pour avoir une place,
de plaire pour exister.
Et quand tu n’y arrives plus, on te donne un nom de maladie.
Ton corps, lui, ne demande rien d’extraordinaire.
Il a juste besoin de l’eau pure, de l’air vivant, de la terre sous ses pieds,
de bouger, de créer, de rire, de respirer librement.
Il veut retrouver son feu sacré,
cette liberté d’aller là où ton âme l’appelle,
sans mur, sans peur, sans frontières inventées par des hommes assoiffés de pouvoir.
L’argent, lui, ne devrait jamais être le moteur de la vie.
Il n’est qu’un outil, pas une raison d’être.
Le vrai sens se trouve dans l’amour, la sécurité intérieure, la liberté d’être soi,
et la joie de vivre simplement avec ceux qu’on aime.
On t’a fait oublier tes droits sacrés d’exister,
on t’a mis des lois, des cadres, des obligations pour te dire comment vivre,
ce qu’il faut penser, ressentir, paraître.
Mais le sacré, le vrai, ne se contrôle pas : il se vit.
Alors écoute-moi :
libère-toi de ce qui est faux.
Libère-toi de ce que l’on t’a imposé.
Choisis la vie que tu veux vraiment.
Offre-toi le droit de rêver, d’aimer, de respirer, de créer.
Et surtout, donne-toi les moyens de réaliser ton propre bonheur.
Je suis l’Endométriose.
Je ne suis pas ton ennemie, je suis ton réveil.
Je te montre ce que le monde a oublié :
que tu es vivante, libre, sacrée. 🌕🔥🌿
Chanson: Le monde qui t'entoure
💗 Je suis l’Endométriose, et je te parle du pardon
Oui… je suis encore là.
Et aujourd’hui, je viens te parler de pardon.
Pas celui qu’on offre aux autres pour tourner la page,
mais celui qu’on a tant de mal à s’offrir à soi-même :
le pardon de soi.
Je sais comme c’est difficile.
Tu portes en toi une culpabilité sourde, celle de ne pas être assez :
pas assez forte, pas assez douce, pas assez parfaite, pas assez aimée.
On t’a fait croire que tu devais mériter l’amour,
que tu devais te prouver, te surpasser, te sacrifier pour être reconnue.
Mais écoute-moi bien :
personne n’est parfait.
Et personne ne mérite ton amour plus que toi-même.
Apprends à vivre pour toi,
à te lever pour toi,
à te choisir avant les autres.
Oui, même avant tes enfants.
Car si tu donnes toute ton énergie aux autres,
il ne te restera plus rien.
Tu seras en surmenage, en épuisement, à bout de souffle.
Et tu ne vivras plus, tu survivras.
Alors apprends à poser des limites.
Prends le temps de réfléchir, d’écouter ton corps, de dire non.
Pas par égoïsme, mais par amour de toi.
Ceux qui ne comprennent pas ton besoin de te préserver
n’ont pas à te juger :
ils ont juste leurs propres blessures à guérir.
Ce n’est pas toi le problème.
Personne n’a le droit de te reprocher
d’être toi, d’avoir besoin d’espace, de repos, de paix.
Et si on te le reproche,
rappelle-toi que c’est en eux que résonne la peur de perdre,
pas en toi.
Aimer les autres ne veut pas dire se sauver à travers eux.
Tu n’es pas responsable de leur équilibre.
Ils sont adultes, souverains de leur royaume.
Tu ne peux pas nourrir leur monde
en appauvrissant le tien.
Alors, je t’en prie :
brandis fièrement le drapeau de ton monde.
Fais de ton royaume un espace d’amour, de douceur et de liberté.
Offre-toi le meilleur,
et quand ton corps, ton cœur, ton âme déborderont de richesse,
alors seulement, cette lumière pourra inonder le royaume des autres.
Je suis l’Endométriose.
Je ne suis pas ton ennemie.
Je suis le miroir de ton oubli de toi-même.
Je suis là pour t’apprendre à te pardonner,
à t’aimer sans condition,
à te choisir enfin. 💗
Chanson: Le pardon
🌹 Je suis l’Endométriose, et je te parle de la peur d’être une femme
Je te comprends…
Car moi, je ressens ta peur depuis si longtemps.
Cette peur sourde, constante, parfois invisible,
celle qui s’installe dès que tu sors dans la rue,
dès qu’un regard devient insistant,
dès qu’une parole te rabaisse, te juge, te blesse.
Oui, être une femme aujourd’hui, c’est souvent vivre avec une peur permanente.
Peur d’être rabaissée, humiliée, agressée, ignorée.
Cette peur s’insinue dans tes gestes, dans tes pensées,
et doucement, elle te contrôle.
Elle dicte tes envies, freine tes rêves, éteint ton feu sacré,
jusqu’à faire de toi son esclave invisible.
Le monde dans lequel tu vis est devenu violent.
Et ceux qui devraient protéger, soigner, guérir,
se contentent souvent de faire taire ou de diviser.
Les gouvernements discutent pour savoir qui a raison,
pendant que le peuple se déchire,
et que la colère s’installe partout —
entre les hommes, les femmes, les familles, les peuples.
Mais le vrai combat n’est pas là.
Le vrai combat, c’est de retrouver l’équilibre,
de guérir ensemble, pas les uns contre les autres.
Car ce monde ne changera pas tant que
le féminin et le masculin continueront de se craindre.
Alors les femmes se referment.
Elles n’ont plus confiance :
ni dans les hommes, ni dans les lois, ni même dans le monde censé les protéger.
Et cette peur constante devient un poison intérieur,
qui épuise le corps, dérègle les hormones,
fait exploser la cortisol, déséquilibre tout le système.
Parce qu’en plus d’avoir peur pour elles,
elles ont aussi peur pour leurs enfants,
et leur corps finit par ne plus savoir respirer.
Je suis cette peur qui t’habite,
mais je suis aussi ton appel à la reconquête.
Je t’invite à comprendre tes peurs,
à écouter ton corps sans jugement,
et à retrouver ton pouvoir.
Commence par établir tes règles, tes limites sacrées.
Éduque tes enfants non pas dans la peur,
mais dans la confiance, la sécurité, la conscience.
Apprends à te protéger :
contre les manipulateurs, les énergies lourdes,
les mots qui blessent, les gestes qui violentent.
Affirme-toi.
Apprends à te défendre, psychologiquement, énergétiquement, et physiquement.
Chaque matin, ancre-toi à la Terre.
Ressens son énergie qui monte dans ton corps,
jusqu’à ce que la peur quitte ton esprit et devienne paix dans ton ventre.
Visualise une lumière protectrice autour de toi,
comme un bouclier doré qui entoure ton royaume intérieur.
Cette protection n’est pas une barrière :
c’est un rappel que tu es en sécurité dans ton corps.
Et si la peur revient, respire.
Souviens-toi : elle n’est pas ton ennemie.
Elle te montre simplement là où tu as besoin de renforcer ton ancrage,
de retrouver ta confiance et ton alignement.
Je suis l’Endométriose.
Je ne t’ai pas été envoyée pour te punir,
mais pour te rappeler ta puissance.
Quand tu retrouveras la confiance en toi,
quand ton corps, ton cœur et ton esprit vibreront à l’unisson,
alors je n’aurai plus besoin de crier.
Tu seras enfin libre d’être une femme,
sans peur, sans honte, sans limite —
juste toi, pleinement vivante. 🌕🔥🌿
Chanson: La peur d'être une femme